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Demande de permis de construire concernant un mur mitoyen.
Le 28 juillet 2014
Pour obtenir un permis de cosntruire concernant un séparatif de propriété, un copropriétaire n'a pas à fournir un document établissant qu'il est seul propriétaire du mur mitoyenou qu'il a l'accord de
M.B. aacquis un édifice en arrière cour d'un immeuble sur rue placé sous le régime de la copropriété. Il a déposé une demande de permis de construire pour la réalisation des travaux portant sur la toiture et la façade de lédifice, qui lui a été accordé.
M.B. se pourvoit en cassation contre l'arrêt de la Cour Administrative d'appel de MARSEILLE qui a annulé le permis de construire. Les Juges du fond ont retenu que ce permis avait été délivré sans l'accord de la copropriété, requis en raison de la présence d'un mur mitoyen.
Dans un arrêt du 13 décembre 2013, le Conseil d'Etat considère qu'il résulte de l'article R. 423-1 du Code de l'urbanisme "qu'une demande de permis de construire concernant un mur séparatif de propriété peut, alors même que les travaux en cause pourraient être contestés par les autres propiétaires devant le Juge judiciaire sur le fondement des articles 653 et suivants du code civil, être présentée par un seul co-indivisaire".
Ainsi, la Haute juridiction administrative estime que la Cour administrative d'appel de MARSEILLE a entaché son arrêt d'une erreur de droit en jugeantr qu'il appartenait à l'autorité administrative compétente, saisie d'une demande de permis de construire prévoyant des travaux portant sur un mur séapratif de propriété, d'exigezr du pétitionnaire, outre l'attestation selon laquelle il remplit les conditions pour déposer une demande de permis, la productrion d'un document établissant soit M.B. était seul propriétaire de ce mur, soit qu'il avait l'accord copropriétaire de ce mur.
M.B. se pourvoit en cassation contre l'arrêt de la Cour Administrative d'appel de MARSEILLE qui a annulé le permis de construire. Les Juges du fond ont retenu que ce permis avait été délivré sans l'accord de la copropriété, requis en raison de la présence d'un mur mitoyen.
Dans un arrêt du 13 décembre 2013, le Conseil d'Etat considère qu'il résulte de l'article R. 423-1 du Code de l'urbanisme "qu'une demande de permis de construire concernant un mur séparatif de propriété peut, alors même que les travaux en cause pourraient être contestés par les autres propiétaires devant le Juge judiciaire sur le fondement des articles 653 et suivants du code civil, être présentée par un seul co-indivisaire".
Ainsi, la Haute juridiction administrative estime que la Cour administrative d'appel de MARSEILLE a entaché son arrêt d'une erreur de droit en jugeantr qu'il appartenait à l'autorité administrative compétente, saisie d'une demande de permis de construire prévoyant des travaux portant sur un mur séapratif de propriété, d'exigezr du pétitionnaire, outre l'attestation selon laquelle il remplit les conditions pour déposer une demande de permis, la productrion d'un document établissant soit M.B. était seul propriétaire de ce mur, soit qu'il avait l'accord copropriétaire de ce mur.
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